Dans mon cabinet de kinésiologie à Lausanne, c’est l’un des thèmes qui revient le plus souvent.
Des adultes, des adolescents, des personnes hypersensibles, épuisées ou surinvesties dans leurs relations viennent me voir en me disant :
« Je n’arrive pas à dire non. »
Ce n’est pas une petite difficulté.
C’est un sujet profond, structurant, qui touche au cœur de l’estime de soi et du système nerveux.
Dire non, ce n’est pas simplement refuser une demande :
c’est habiter sa place, protéger son énergie et affirmer ce qui est juste pour soi.
C’est pour cela que ce thème traverse tellement de séances de kinésiologie à Lausanne :
parce qu’il influence l’équilibre émotionnel, énergétique et relationnel.
Pourquoi dire non est-il si difficile ?
Beaucoup de personnes ont appris, très tôt dans leur vie, que leur sécurité affective dépendait de leur capacité à dire oui.
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Oui pour éviter la colère.
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Oui pour garder le lien.
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Oui pour faire plaisir.
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Oui pour ne pas déranger.
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Oui pour survivre dans un environnement instable.
Ces « oui » automatiques viennent souvent d’une forme de protection archaïque.
Ils ont eu une utilité.
Mais à l’âge adulte, ils empêchent de s’écouter.
Quand quelqu’un arrive en séance de kinésiologie à Lausanne et me dit :
« Je n’arrive pas à dire non »,
je sais qu’il y a derrière :
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une peur de décevoir,
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une peur de perdre l’amour ou le lien,
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une ancienne loyauté familiale,
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ou la croyance profonde d’avoir moins de valeur que les autres.
Dire non n’est jamais un caprice.
C’est un processus intérieur.
Comment commence-t-on à changer ça ?
Dans mon cabinet de kinésiologie à Lausanne, nous travaillons sur plusieurs dimensions :
1. Reconnaître l’ancien modèle
Identifier d’où vient ce réflexe.
Et surtout : comprendre qu’il a longtemps été une stratégie d’adaptation intelligente.
2. Écouter le corps
En kinésiologie, le corps est un guide précieux.
Il signale très vite quand quelque chose n’est pas juste :
serrement, lourdeur, souffle court, tension.
3. Retrouver la légitimité de ses besoins
Dire non n’est pas refuser la relation.
C’est se respecter.
4. Pratiquer des petits “non” sécurisés
Dire non est un muscle.
Il se renforce progressivement, dans un cadre bienveillant et accompagné.
Une métaphore que je partage souvent en séance
Imagine que tu es le jardinier de ton propre jardin.
Chaque fois que tu dis oui alors que ton corps voulait dire non,
tu laisses quelqu’un entrer dans ton jardin, prendre de ton eau, marcher sur tes plantes.
Ton jardin finit par s’appauvrir.
Dire non, c’est mettre une barrière douce qui dit :
« Je protège mon énergie.
Je respecte mon espace.
J’accueille ce qui me nourrit. »
Un jardin protégé devient un jardin vivant.
Et tu peux ensuite offrir tes fleurs, ton ombre, ta beauté…
avec générosité, mais sans te sacrifier.
Pourquoi c’est un sujet si important en kinésiologie ?
Parce que dire non, c’est :
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renforcer l’estime de soi,
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protéger son énergie,
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poser des limites claires,
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sortir des schémas de sur-adaptation,
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diminuer la fatigue émotionnelle,
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retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
C’est un axe essentiel du travail que je mène en kinésiologie à Lausanne :
accompagner chacun à se reconnecter à ses besoins, à son corps et à sa vérité.
Dire non, c’est toujours commencer à dire oui… à soi-même.
Tu veux aller plus loin ?
Je propose des séances de kinésiologie à Lausanne (Pully) pour travailler :
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les limites,
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l’estime de soi,
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la gestion du stress,
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l’autorégulation,
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les schémas relationnels répétitifs.
📍 Blossom Therapies – Avenue de Lavaux 35, 1009 Pully
💻 Rendez-vous en ligne : blossomtherapies.ch/prendre-rv