Dans un monde où la performance, l’efficacité et le « tout va bien » sont souvent de mise, beaucoup d’adultes avancent en pilotage automatique. Ils tiennent bon, cochent les cases, assurent sur tous les fronts. Et pourtant, quelque chose en eux crie silencieusement. Pas par les mots, mais par le corps.
Ce corps, qu’on a appris à ignorer, à faire taire, à repousser dans ses limites, devient souvent le seul moyen d’expression de ce qui n’a pas pu être dit, ressenti ou accueilli. Il est la voix de l’âme quand la parole se tait. Et cette voix parle fort :
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Par une fatigue inexpliquée
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Des douleurs chroniques
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Des tensions musculaires qui ne partent jamais
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Des oppressions dans la poitrine
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Une gorge nouée
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Un ventre en vrac
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Des insomnies, des migraines, ou des « symptômes flous »
Quand le mental tient bon… mais à quel prix ?
Beaucoup de personnes que j’accompagne me disent :
« Je ne comprends pas, tout va bien dans ma vie, mais je suis vidé(e). » « Je ne vis rien de grave et pourtant je suis tout le temps tendu(e). » « Je me sens triste sans raison. »
Et très souvent, derrière ces mots, il y a des émotions mises de côté, des besoins non écoutés, des fragilités masquées par un mental devenu expert en adaptation. C’est une stratégie de survie. Mais à la longue, cela a un coût : le corps se met à prendre le relais.
Le corps ne ment pas
Le corps, lui, ne triche pas. Il ne joue pas à « je vais bien ». Il exprime, il traduit, il alerte, souvent bien avant que nous ne comprenions ce qui se passe. Il est notre plus fidèle messager. Et plus on tente de l’étouffer, plus il crie fort.
C’est pour cela que, dans mes accompagnements, j’aime partir du corps. En kinésiologie, on accède à une forme d’écoute profonde, non mentale, qui passe par le test musculaire. Le corps révèle ce que la conscience ne formule pas encore : des stress non digérés, des émotions réprimées, des surcharges anciennes restées actives.
Kinésiologie : quand le corps parle, on peut enfin entendre
Une séance de kinésiologie, c’est comme ouvrir un dialogue avec soi-même, mais sur une fréquence plus intime. C’est permettre au corps de dire :
« Là, c’était trop pour moi. » « Là, j’ai eu peur. » « Là, j’ai encaissé sans rien dire. »
Et dans cet espace d’écoute, quelque chose peut se relâcher. La pression diminue. Les pièges répétitifs se desserrent. Le système nerveux peut souffler.
J’utilise également d’autres approches comme la Santé par le Toucher pour réharmoniser les circuits énergétiques et déverrouiller des blocages physiques ou émotionnels, et la maïeusthésie pour aller à la rencontre des parts de soi restées figées dans le passé.
Ne pas attendre de craquer pour prendre soin de soi
Trop souvent, on attend que tout explose pour s’autoriser à demander de l’aide. On pense que ce n’est « pas si grave », que « d’autres ont pire »… Et on continue, au mépris de ses signaux intérieurs.
Mais il est possible de faire autrement. Il est possible d’écouter AVANT que le corps ne hurle. D’accueillir AVANT de s’effondrer. De se choisir AVANT de tomber malade.
Il ne s’agit pas d’être parfait, ni de tout comprendre. Il s’agit d’être présent à soi, avec honnêteté, bienveillance et curiosité.
Revenir à soi, en profondeur
Chaque corps a une mémoire. Chaque symptôme a un message. Chaque tension contient une histoire. Quand on prend le temps d’écouter en profondeur, on fait plus que « se sentir mieux » : on revient à soi, on se reconnecte à son élan de vie.
Et souvent, c’est cela qui change tout :
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Retrouver de l’espace intérieur
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Respirer à nouveau
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Se sentir aligné
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Réinvestir son corps avec confiance
Si vous ressentez que votre corps tente de vous dire quelque chose, si vous avez besoin d’un espace pour relâcher, comprendre et transformer, je vous accueille avec respect et présence au cabinet Blossom Therapies à Pully.
📍 En savoir plus ou prendre rendez-vous : https://blossomtherapies.ch/prendre-rv
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